samedi 5 décembre 2009

Les postes-cléf du Fédéral "trustés" par les Flamands. Le retour de l'Etat-CVP.

Le  Vif-L'Express sorti de presse ce vendredi publie une série d'articles éloquents : le poste de Premier fédéral (comme on dit en Flandre), l'Intérieur, la Défense, la Justice et la Diplomatie, ainsi que la pupart des services publics fédéraux sont aux mains des Flamands.
Premier ministre : Yves Leterme (CD&V); Intérieur : Mme Turtelbaum (VLD); Défense : Pieter De Crem (CD&V); Affaires étrangères : Steven Vanackere (CD&V); Ambassadeur de Belgique aux USA : Jan Matthijsen (VLD), Ambassadeur au Congo-Kinshasa : Dominique Struye (CD&V).
Ajoutons : Présidence de l'Union européenne : Herman Van Rompuy (CD&V); Commissaire européen au commerce : Karel De Gucht (VLD).
Concernant l'administration fédérale, si la parité Fl/Fr est respectée au niveau des présidents des SPF, la loi du nombre penche clairement en faveur des "manageurs" flamands : 25 directeurs-administrateurs sont Flamands, contre 16 francophones.
Malgré la présence de quelques libéraux flamands à certains postes, on semble bien en être revenu, au niveau fédéral, à "l'Etat-CVP".
Le journaliste du Vif observe que les postes ministériels détenus par les Flamands sont des postes "d'autorité", régaliens en quelques sorte, tandis que les Wallons et les francophones ne détiennent  - hormis les Finances - que des responsabilités à caractère social : Affaires sociales et santé publique :  Laurette Onkelinx (PS); Emploi : Joëlle Milquet (cdH); Pensions : Michel Daerden (PS). Relevons toutefois en passant que s'il n'y avait pas eu cette lutte fratricide au MR entre Didier Reynders et le clan des Michel, Charles autrait eu des chances d'emporter les Affaires étrangères, si l'on en croit certains échos.
Tout cela est grave, certes, mais pas tellement neuf, puisqu'on évoque l'ancien CVP. On voit bien qu'il y deux tendences qui s'opposent chez les nationalistes flamands : les impérialistes, surtout présents au CD&V, qui veulent dominer l'Etat fédéral et l'utiliser au profit de la Flandre, et les indépendantistes, représentés par la N-VA, le Vlaams Belang et la Liste DDK. Au Parlement flamand, présidé par le N-VA Jan Peumans, les indépendantistes occupent 40% des sièges, mais ils n'ont aucun représentant au gouvernement fédéral, où c'est manifestement le CD&V qui fait la loi. La N-VA est présente dans le gouvernement flamand, mais pas dans le fédéral. Mais elle peut agir indirectement en faisant pression sur Kris Peeters, ce que ne manque pas de faire M. Bart De Wever.
C'est en raison de cet état de choses qu'il faut, non se contenter de dénoncer la mainmise flamande sur le Fédéral, mais, comme nous le répétons, encourager les séparatistes flamands qui, eux, veulent larguer la Belgique pour constituer un Etat flamand indépendant au sein de l'Union européenne. Ce sont eux qui feront craquer l'Etat Belgique,  non les impérialistes du Nord, ni les partis croupions du Sud . Ceux-ci sont bien trop individualistes et trop peu "identitaires", et le courage politique n'est pas leur fort !
Le RWF va-t-il se décider à faire cette dstinction entre les Flamands impérialistes et les Flamands séparatistes ?
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30 commentaires:

mars2000 a dit…

Une analyse qui complète assez bien celle que j'ai formulée en réaction à l'article "Munich ou Campofornio ?".

Toutefois, il ne faudrait pas sous-estimer les capacités de caméléon du FDF, et par-delà le FDF, du MR. Ce n'est pas du RWF (en pleine explosion) que viendra la percée rattachiste, mais du MR-FDF.

Benoît Delvaux

Philippe Rasquin a dit…

@ Benoît Delvaux.

Le RWF aurait pu éviter cette explosion en se démocratisant et en assouplissant son programme : permettre le débat intérieur et même l'encourager,respecter les militants et leur permettre de s'exprimer et de se réunir librement, admettre le droit de tendance, accepter de discuter des différentes formules d'union à la France, ne pas courir derrière le FDF à Bruxelles; avoir une attitude plus positive à l'égard des indépendantistes, tant flamands que wallons. Autrement dit: ETRE UN VRAI RASSEMBLEMENT.

mars2000 a dit…

Le fond du problème, pour le RWF, est bien là : l'absence de vraie démocratie interne.

Avant de quitter ce parti, j'ai d'ailleurs fait la comparaison avec le conflit interne du MR : les causes étaient similaires, mais au MR, on a quand même réussi à laisser une place importante aux contestataires.

Au RWF, PHG n'envisage nullement cette option, il n'est pas prêt à donner un espace important de liberté et de responsabilité à l'équivalent d'un Willy Borsus, dont la mission serait de susciter cette fameuse démocratie interne dont PHG ne tolère, au mieux, qu'un semblant d'apparence.

Benoît Delvaux

Anonyme a dit…

Aux yeux de beaucoup d'observateurs pressés, la crise belge est purement une question linguistique : ils ne comprennent pas comment on peut se donner tant de mal pour une simple question de langues. D’abord, la langue n’est pas un vulgaire instrument auquel on peut renoncer à loisir. La langue est tellement liée à la pensée qu’elle plonge au plus profond de l’être humain. Apprendre à penser, c’est apprendre à parler; apprendre à parler, c’est apprendre à penser.
D’autre part, la crise belge est également, pour le peuple flamand, la recherche de sa personnalité, de son indépendance et de son unité. La crise est démographique, elle est sociale, elle est économique. La question est extrêmement grave et elle va bien au-delà d’un simple rapport de langues. En Wallonie depuis des siècles, le français, les wallons, le picard et le lorrain y circulent à l’aise depuis des siècles. La question linguistique est flamande. La Flandre est bilingue dans ses classes dirigeantes depuis la première expansion du français à partir du 13e siècle. La période bourguignonne consolida ce bilinguisme franco-flamand qui se maintiendra sous les Espagnols et les Autrichiens au temps de l’Europe française. Si bien qu’en 1830, n’ayant pas d’autre choix, de par la volonté de l’Angleterre et la faiblesse momentanée de la France, les Wallons créèrent un Etat unilingue français, avec l’accord de l’élite francophone du pays flamand. Il est donc faux de dire, en simplifiant les faits, que les Wallons ont dominé les Flamands.
Dès la fin du 19e siècle, les Wallons les plus éclairés se rendent compte qu’ils sont déjà en Belgique des citoyens de seconde zone. Ce sont les classes dirigeantes flamandes qui portent en premier lieu la responsabilité des injustices sociales et linguistiques, car le peuple flamand, dans son âme, restera toujours fidèle au parler de ses ancêtres. L’histoire du mouvement flamand est bien l’histoire d’une reconquête sociale, linguistique (Anvers, Gand, Louvain et bientôt Bruxelles) et territoriale (colmatage et fixation ferme et définitive de la frontière « linguistique », ligne de démarcation quasi naturelle entre France et Néerlande).
En fait, les Wallons furent depuis le début les « dindons de la farce ». Aujourd’hui, ils sont les « cocus magnifiques » par la veulerie, l’affairisme, la corruption et l’incivisme collaborationniste de leur actuelle particratie. Cette particratie qui fait tout pour dénationaliser la Wallonie, lui cacher qu’elle appartient en fait à la grande France spirituelle. Beaucoup de Wallons manquent d’espérance dans leur destin parce que leurs représentants politiques ne cessent de les convaincre que les jeux sont faits et qu’il n’y a plus qu’a s’accommoder au fait accompli pour sauver « la petite Belgique flamande et sa monarchie allemande ».Il faut détruire la légende d’une Flandre nécessaire à la Wallonie. C’est le contraire qui est vrai.

Dans son débat national actuel, la France oublie les monarques qui l’édifièrent. Si Ernest Renan demeure le sublime théoricien de la Nation, on omet de remarquer qu’ il adapte le « Pré carré » à « l’Hexagone » suite à la défaite de 1870. Or, le « Pré carré » , au sens d’henry IV comme de Richelieu devait comprendre l’actuelle Wallonie.

La France est singulière et elle doit le rester si une âme doit habiter l’Europe. Si la France ne tient pas à se diluer dans un magma insipide européo-germano-anglo-saxon, elle doit impérativement se rappeler ses architectes illustres comme Henri IV, Richelieu et Vauban et tenir tête à ses détracteurs extérieurs. A travers les siècles, la France n’a jamais eu autour d’elle que des assaillants rêvant sa destruction et son dépeçage. Il n’y pas de raison que cela change malgré les apparences ; L’actuel président de la République devrait y penser.

P. COCHE, Uccle

Julien Senny a dit…

Dans ce cas, Monsieur Delvaux, il n'y a, pour les démocrates, que deux attitudes possibles : élire une nouvelle équipe au congrès statutaire de janvier, ou faire comme vous, quitter ce parti...

Anne Dopchie a dit…

Excellente analyse, en profondeur, de Mr Coche !

Marc HANSEN a dit…

Tout à fait, l'analyse de Monsieur P. Coche est remarquable. C'est un texte à garder et à méditer. Nos remerciements, Monsieur Coche pour votre éclairage.

Anonyme a dit…

C'est incroyable comme Liège France s'occupe de RWF comme si elle était dirigés par les sercices secrets du royaume. Ce site pourrait émettre des théories rattachistes différentes du RWF sans s'en occuper. Mais non, c'est le parti de Paul Henry Gendebien, le seul qui ait sorti le rattachisme des cénaécles de quelques romantiques,qu'il faut attaquer. Mr Schreus vous portez une lourde responsabilité, volontaire ou non !Faites au moins une fois dans votre vie, votre examen de conscience.

mars2000 a dit…

A l'anonyme "courageux" (sic !) : vous n'avez certainement pas lu mon intervention dans "Munich ou Campofornio ?". Franchement, est-il possible de faire une telle analyse au sein du RWF ?

En réalité, ceux qui ont tenté une analyse alternative dans ce parti savent qu'on les interrompera plusieurs fois de sorte que le message devienne incompréhensible et incomplet. C'est là une technique bien rôdée qui empêche le vrai dialogue démocratique.

Pour qu'il y ait dialogue, il faut d'abord qu'il y ait écoute. Pour qu'il y ait démocratie, il faut d'abord qu'il y ait respect. Sans écoute et sans respect, c'est un monologue intolérable et c'est la triste réalité du RWF.

Benoît Delvaux

Georges Lambert a dit…

@ au COURAGEUX ANONYME :

"Le parti de M....." : si vous le dites vous-même ! "Sorti le rattachisme des cénacles" ? Quelle prétention ! Ou quelle ignorance !
La particularité du blog "Liège-France" est qu'on peut y débattre, s'y exprimer en toute liberté. Si le site officiel du parti de M.... le permettait, les militants n'auraient peut-être pas besoin d'envoyer autant de commentaires sur ce blog-ci.Au lieu de donner des leçons aux démocrates et aux esprits libres, comme Jean-Sébastien Jamart et André Schreurs,
faites plutôt vous-même votre examen de conscience. Si le RWF est tant critiqué, c'est parce que l'attitude de ses dirigeants actuels nuit à la cause rattachiste, précisément. Que le courageux anonyme relise la parabole de la paille et la poutre
! Mais qu'attendre d'une personne qui n'ose même pas indiquer son nom ?

M. Robert a dit…

Je partage l'avis de MM.Coche, Delvaux, Jamart,Lambert,Rasquin,
Schreurs, Senny, MMes Davister, Dopchie, MM. Rulot, Thayse et bien d'autres commentateurs. Et en plus tous ceux qui, au RWF de Liège et de Huy-Waremme, se taisent mais n'en pensent pas moins...

Vincent Bodart a dit…

On ne compte plus les exclusions et les démissions, dans ce parti, pour cause de refus de la "pensée unique" du Chef. C'est comme au Front National, à "Vivant", etc. Ca a commencé avec André Libert, qui était vice-président (avec cette brillante opération, le RWF a pedu 8.000 voix dans le Hainaut!). Puis ça a été le tour de Claude Thayse, ancien président, qui a rejoint l'UPW; de l'éminent professeur Marc Wilmet et de Jean-François Goose,de Bruxelles; de Claude Henrard, vice-président et président de l'arrondissement de Verviers, honteusement outragé lors d'une réunion liégeoise par le président fédéral, puis de Jean-Sébastien Jamart, chargé de cours à l'ULG, de Marc Robert,de Huy ; de Benoit Delvaux; de Pierre Pilat,maître Toile du site de Liège, et de combien d'autres...La liste est longue. Et les amis et relations de tous ces militants les ont tout naturellement suivis.Ils n'ont plus confiance et on les comprend !
Heureusement qu'il existe un site indépendant comme "Liège-France" où ils peuvent s'exprimer librement, démocratiquement.

Un administrateur a dit…

C'esr regrettable d'évoquer encore des questions de personnes, alors que les débats sur les questions de fond sont tellement plus itéressants. Mais on ne peut quand-même pas tout laisser passer sous ce prétexte.Je comprend Vincent Bodart. Un président de parti qui, lors de réunions de militants et donc devant témoins, qualifie un vice-président de "traître", la revue "Wallonie-France" de "torchon" et M. Schreurs de "guignol", est-il encore respectable ? N'est-il pas encore plus odieux quand il condamne sur un blog ULTRA-BELGICAIN, certains propos de M. Schreurs étrangers au rattachisme et volontairement mal comprist et, encore plus grave,ne publie pas la mise au point de notre ami effectuée sur le seul site officiel qualifié dans le domaine concerné. Qui s'est rendu coupable de trahison et de malveillance ?
Est-ce là un comportement digne d'un président ? Du président d'un parti qui avait pour vocation de rassembler et non de diviser...mais qui a fait tout le contraire, par égotisme, autoritarisme et caporalime. Ce président a atteint "son plus haut nivreu d'incpmpétence", si l'on se référe au "principe de Peter".Le seul service qu'il puisse encore faira à la cause rattachiste, c'est de s'en aller, de ne pas se représenter à la présidence du parti au congrès de janvier.

Pynnaert Pierre a dit…

"Un administrateur" : quel courage derrière ce pseudo !!
Et c'est reparti pour un tour anti RWF .
Je l'affirme, sans le RWF, l'idée rattachiste ne serait pas sortie des salons.
Le plus troublant, c'est que non seulement on s'attaque à la personne de PHG, mais on s'attaque au RWF lui même en tant que parti.
Imaginez un candidat à l'achat d'une grange qui y mettrait le feu avant de l'acheter !

A. Schreurs a dit…

"Un administrateur" n'est pas un pseudo, c'est l'un des deux administrateurs du blogue "Liège-France", qui engage donc celui-ci.

Nous avons publié ce dernier commentaire de M. Pynnaert pour bien montrer, une fois de plus,à quel point les zélateurs
/admirateurs d'une personne ou d'un groupe peuvent manquer d'arguments et de connaissances. C'est de l'émotionnel à l'état pur, comme à RTL, qui en a fait un slogan publicitaire. Affirmer, toujours affimer, sans jamais démontrer quoi que ce soit...! Un parti ou un mouvement, quel qu'il soit, qui n'a plus que des militants de ce genre- aussi dévoués soient ils -est cliniquement mort. On aurait pu espérer un sursaut d'esprit démocratique, mais non, on ne rencontre que de l'obstination,de l'obscurantisme, de la morgue de la part des dirigeants, figés dans leur conviction absolue de détenir la Vérité. Ils font de plus en plus penser aux derniers dirigeants de la RDA, un mois avant la chute du mur de Berlin. Il faudrait un Gorbachev wallon pour dépoussiérer ce parti et lui donner de l'oxygène. Il y en avait, mais on les a exclus sous des prétextes fallacieux. "Donnez-vous des chefs jeunes qui diront la vérité au peuple", avait pourtant conseillé de Gaulle...

Anonyme a dit…

Ce qui est certain , c'est que si un jour le R.W.F. n'existait plus, ce blog perdrait son fonds de commerce.....

Un administrateur a dit…

Liège-France posait une simple question au RWF : va-t-il enfin faire la distinction entre les impérialistes flamands et les réels indépendantistes ?
Au lieu d'une réponse simple et claire à cette question, nous avons de nouveau reçu une avalanche de commentaires sur le parti, ses dirigeants, etc. Seul, M. Coche nous a adressé une analyse de fond,vraiment très intéressante, mais ne répondant pas, néanmoins, à la question posée.

Anonyme a dit…

Seul M.Coche a fait mouche, il a vraiment sa place à vos côtés ...

Georgette Davister a dit…

Enfin un peu d'humour ! Ca ne mange pas de pain, mais ça rafraîchit.

Pynnaert Pierre a dit…

l'émotionnel est de chaque côté, ne faites pas les vierges effarouchées.
Je dénonce depuis octobre l'amateurisme de l'opposition. L'émotionnel y a aussi grandement sa place et donc dans cet émotionnel, il y a peu d'arguments, que des accusations.

Serges Havet a dit…
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
Josette Shipers a dit…

Qui est M. Vandijck ? Et qu'est-ce que c'est : "Netlog Profiel" ?

Clément Collard a dit…

Théo Van Dijck est la personne qui a été désignée pour reprendre la trésorerie du RWF de Verviers par José Crutze. Ne partageant plus la manière d'agir du RWF de Verviers, j'avais mis la pression pour me débarrasser de cette trésorerie le plus vite possible.

Un administrateur a dit…
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
Un administrateur a dit…

@ Josette Shipers :

M. Vandijck est le nouveau trésorier du RWF de Verviers. Résidant à Waimes, près de Malmédy, il a été 2é candidat suppléant aux élections régionales de juin 2009.
Quant à Netlog, c'est site d'amis dans le genre de Facebook; il existe en version française et en version néerlandaise.

Vincent Bodart a dit…

Est-ce un Gorbachev wallon qu'il faudrait, ou n'est-ce pas plutôt un Boris Elstine ? La pérestroïka et la Glasnost, les dirigeants actuels du parti réunioniste officiel n'en ont pas voulu... Maintenant, c'est trop tard. Il faut passer à l'étape suivante, comme l'a fait Elstine à Moscou.

Pynnaert Pierre a dit…

Mr Bodart et bien d'autres, vous vous trompez de cible !
Demandez vous d'abord, en votre for intérieur, ce que vous avez fait pour le réunionnisme ces dernières semaines !

Vincent Bodart a dit…

MR Pynnaert, avez-vous jamais vu, sur le blog de Mr Schreurs, la moindre critique à l'égard du RWF de Liège ? Tout au contraire, Liège-France a, depuis le début, établi un lien avec lui, et le recommande encore aujourd'hui. Il n'y a jamais eu non plus de critiques à l'égard du site de Huy-Waremme, que, malheureusement, la direction fédérale du RWF a forcé à disparaître. C'est uniquement cette direction et les prises de positions de celle-ci qui sont contestées - et de plus en plus!
Nous faisons chacun ce que nous pouvons pour la cause rattachiste en en parlant à nos amis, dans notre milieu de travail, en faisant circuler la revue "Wallonie-France" ou d'ancien tracts.

Josette Shipers a dit…

Moi, j'en parle à mes voisins (quand le temps n'est pas trop mauvais et que je les vois), ou chez le boulanger.

Pynnaert Pierre a dit…

Il est certain que d'en parler dans son entourage, c'est très important. C'est le premier pas , mais pas le seul. Courage ! En parler maintenant est moins difficile qu'avant car les réactions sont de moins en moins émotives ou passionnelles. La cause rattachiste progresse, mais le mouvement rattachiste se mange la queue, malheureusement.