Le Soir de ce vendredi publie une excellente "carte blanche" de Jules Gheude sur "L'impossible mission d'Elio Di Rupo".
A lire absolument.
Le blogue d'André Schreurs : une voix indépendante et libre pour la réunion de la Wallonie à la France; le site rattachiste sur lequel on peut débattre librement, dans un esprit ouvert, pluraliste et démocratique.
7 commentaires:
Oui ! Et surtout pour la dernière phrase : " le ministre André Antoine donne rendez-vous à la Flandre dans 20 ans. Nul doute qu’elle figurera alors parmi les Etats-membres prospères de l’Union européenne…"
La Flandre riche dns 20 ans ? ça reste à démontrer.
Curieusement, Gheude ne parle pas de la Wallonie. Mais qu'est-ce qui le différencie encore de Gendebien ?
@ Jean-Pierre Leroux: ce qui différencie Jules Gheude de P-H Gendebien, c'est la méthode. De fait, un rattachement de la Wallonie à la France doit se faire par étapes et non d'une manière abrupte. Quant à la dette wallonne qui serait vraisemblablement partageable 35/65, cela n'augmenterait celle de la France que d'à peine 2% alors que les avantages en retour sont indiscutables. Mais allez faire comprendre cela au citoyen lambda!
Très grande lucidité comme d'habitude.
Bien loin des gesticulations stériles d'un certain parti.
L'intervention de Mr Duvieusart en "courrier des lecteurs" au dessous n'est pas mal non plus.
@ Yves Pierlot.
Vous parlez d'une répartition de la dette selon un rapport de 35/65.
Avez vous vu cette étude d'un bureau de gestion britanique qui parle lui d'une répartition de 65/35 ! Vous avez bien lu 65 % de la dette à charge de la Wallobrux !
http://www.lesoir.be/actualite/belgique/2010-07-28/une-belgique-eclatee-ne-pourrait-rembourser-sa-dette-publique-784069.php
Voici également l'article dans sa version originale :
http://www.bedlamplc.com/c2/uploads/potw%2087.pdf
Cette analyse semble comporter de nombreuses erreurs quant à la forme,( l'auteur confond par exemple la NVA et le VB), néanmoins que doit on penser quant au fond ?
@ Oli: les chiffres précédents donnaient 40% pour la Wallonie et 60 pour la Flandre. Je n'en possédais pas pour Bruxelles. Le calcul se faisant non à la superficie mais au rapport de populations. Quant à la situation de Bruxelles, elle ne pourra évoluer tant qu'une majorité restera belgicaine. Pour le suivi, je ne sais pas n'ayant pas de boule de cristal. Nous verrons d'ici quelques temps s'ils ne s'arrangent pas pour faire traîner jusqu'à la fin de la présidence belge de l'UE.
En cas d'éclatement du pays, j'ose espérer que nos dirigeants francophones n'accepteront jamais une telle clé de répartition !
D'ailleurs, les clés de répartition souvent proposées (en fonction de la population de la Flandre et du Wallobrux, ou de leur superficie, ou du rendement de l'IPP), n'ont aucun bon sens à mon humble avis.
Une dette d'un Etat qui éclate doit se répartir en fonction de la répartition des actifs qui ont été à l'origine de cette dette. Autrement dit, il faudra repartir des chiffres de Michel Quévit qui retrace l'origine d'une grande partie de la dette belge : les lois d'expansion économique qui ont bénéficié principalement à la Flandre...
ttention, Quévit est un partisan du confédéralisme (dans un premier temps !) un Wallon qui ne se sent pas immédiatement Français.
Le grand Lenain estime ses anayses comme superfétatoires.
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