dimanche 22 novembre 2009

Liège-France-Wallonie ?

Etant donné l'extension constante de notre réseau sur la Toile et le nombre de commentateurs de tous les coins de la Wallonie qui nous écrivent, nous avons songé à compléter le titre de ce blogue tel qu'il apparaît ici. Ce n'est pas un choix définitif et vos commentaires à ce sujet seront les bienvenus.

10 commentaires:

Youri a dit…

Je vous remercie de sortir un peu de votre Principauté et de considérer qu'il y a aussi des Wallons ailleurs qu'à Liège.
Je me dis d'ailleurs que si vous supprimiez le nom de votre ville (sans renier quoi que ce soit), vous auriez encore plus d'adeptes.
Pensez-y. Vu l'état de santé du RWF et le cancer qui le ronge, il y a sans doute une occasion à saisir de ratisser plus loin que la place St Lambert.
Bon dimanche.

Anonyme a dit…

Bonjour Monsieur Schreurs,

Permettez-moi de vous conseiller ces deux articles que l'on peut lire sur VIGILE et la revue TOUDI.

1)Sortir de la Belgique pour survivre
José Fontaine
Toudi annuel n°8, 1995
Histoire de Belgique et de Wallonie

2)L’abjecte Belgique d’Herman Van Rompuy
José Fontaine
Chronique de José Fontaine
samedi 21 novembre 2009

Bonne lecture. Paul COCHE, Uccle

Oli a dit…

@Youri
A l'origine l'auteur de ce blog avait prévu la possibilité pour ceux qui le désiraient, de créer d'autres blogs sur le même modèle (Namur-France, Hainaut-France, Luxembourg-France, ...)
Les choses se mettent en place autrement.

A. Schreurs a dit…

@ Paul Coche :

Pour lire l'article de José Fontaine sur "L'abjecte Belgique de Herman Van Rompuy", cliquer sur notre lien avec le blog de Jean-Sébastien Jamart, puis sur celui que celui-ci a établi avec le site "Toudi".

L'article se termine par la conclusion suivante :

"La Wallonie doit quitter cette terre d'abjection qu'est devenue la Belgique. Même si l'on peut craindre que les mêmes comportements ne se fasent jour à sa tête. Auquel cas, il faudrait alors se résigner au pire: que les Wallons, incapables d'être des citoyens, rejoignent un pays comme la France qui sera la République qu'ils n'auraient jamais été capables d'incarner. Solution du désespoir. Et qui, d'ailleurs, ne résoudrait rien. La Mort, simplement, serait là. Selon certains, les peuples ne sont d'ailleurs pas capables de se gouverner : voir Michaël Gama, Rencontres au sommet. Quand les hommes de pouvoir se réunissent."

A propos de la Wallonie, José Fontaine constate simplement ce que de De Gaulle avait déjà compris dans les années '60, il y a 50 ans !
Citation : "Donnez-vous des chefs jeunes, qui diront la vérité au peuple(...) J'ai pourtant la conviction que, seule leur prise en charge par un pays comme la France peut assurer l'avenir à vos trois à quatre millions de Wallons"...

C'est évident ! Et je suis bien d'accord avec José Fontaine, à cette (énorme) différence près : la réunion à la France n'est pas "la solution du désespoir" et encore moins "la Mort" pour la Wallonie, mais l'accomplissement d'un destin naturel autrement enthousiament et épanouissant qu'une petite république "d'amon nos-ôtes", comme a dit François Perin, repliée sur elle-même, une petite" Irlande" qui, comme chacun sait, joue un rôle capital dans la conduite des affaires du monde...

Oli a dit…

Je me permet (j'espère qu'il ne m'en voudra pas)de reprendre ici un texte qu'un autre intervenant (Youri) à placé sur un blog belgicain.


“Les Belges sont l’archétype d’un peuple totalement commercialisé, d’un peuple digne, industrieux, stable certes, mais d’un peuple qui a renoncé à toutes les visions, à tous les rêves, à tous les idéaux nationaux; d’un peuple dont l’ambition presque universelle est devenue la richesse et le confort individuels. Dans ces conditions, ce peuple, en quelque sorte, a renoncé. Il a renoncé parce qu’il a subi trop de désastres, d’humiliations, de défaites, d’occupations ennemies, d’armées étrangères foulant son territoire. Dans ces conditions, ce peuple est définitivement marqué par sa propre impuissance à forger son destin. Ses esprits les plus hardis et les plus énergiques eux-mêmes ont tendance à choisir le confort personnel et la sécurité à tout prix. En politique, ils ne sont plus ni de droite ni de gauche, ni progressistes ni réactionnaires, ni nationalistes ni internationalistes: ils sont belgifiés.

Léon Trotsky

A faire lire d'urgence à tous les gauchos carriéristes de belgie/belgium. (les autres, les intègres savent, eux)

A. Schreurs a dit…

On savait que samedi dernier, 21 novembre, le Bureau Exécutif du RWF devait se réunir pour examiner, notamment, les candidatures aux postes de président et de secrétaire général en vue du congrès statutaire de janvier 2010.
Tout ce que le B.E. à trouvé de mieux à faire est d'exclure manu militari un des candidats les plus valables, Jean-Sébastien Jamart, jugé sans doute trop intellectuel par ce petit groupe de péquenots assujettis à un hobereau, sous prétexte de non respect d'un article des statuts...
Comme on voit, ça vole de plus en plus bas dans les hautes sphères de ce particule qui a cru pouvoir confisquer au profit de quelques ambitions personnelles notre idéal rattachiste. Honte à eux !
Ce ne sont que les soubresauts d'un parti moribond, déchiré de toutes part, que M. Gendebien conduit inexorablement à sa perte comme il l'a fait jadis avec le Rassemblement wallon.
Les candidats qui restent en lice ne font malheureusement pas le poids. C'est donc l'équipe liquidatrice actuelle qui l'emportera pour achever son oeuvre de destruction.
Il est temps de tourner la page et d'envsager d'autres formules que le RWF.

Frédéric Massart a dit…

sIl y avait, comme une relève, comme un espoir, l'équipe des EGW (Etats généraux de Wallonie) conduite par Jules Gheude, la seule personnalité "opposable" à Paul-Henry Gendebien.
Malheureusement, là aussi, la discorde s'est installée à la suite de la malencontreuse initiative de MM. Lenain et Salomon, tous deux extérieurs à cette équipe, qui sont parvenus, avec cette fameuse "Lettre au Président de la République", à remettre sur le tapis un facteur de division qu'il fallait précisément éviter soigneusement !
C'est le même genre de déviance qu'au RWF et c'est dû chaque fois à l'ingérence des Bruxellois...

Michel Harcourt a dit…

Mais les dirigeants actuels du RWF ne respectent pas, eux non plus, les statuts du RWF! J'avais lu sur un blogue que je ne parviens plus à retrouver que les dirigeants du RWF ont vu leur mandat prendre fin en septembre si ma mémoire est bonne...

Jean-Sébastien Jamart a dit…

Article 4.6 des statuts du RWF : "Si les mandats du président et du secrétaire général viennent à échéance en période électorale, le congrès chargé de les désigner peut être reporté jusqu’à nonante jours après les
élections."

90 jours après le 7 juin 2009, cela nous fait le 5 septembre 2009. Donc, le RWF n'a plus de Président légitime selon les statuts depuis presque 3 mois...

Philippe Rasquin a dit…

@ Sébastien Jamart :

Il n'y a plus rien à attendre de ces gens-là. Quelqu'un l'a dit : M. Gendebien s'accroche comme l'a fait l'ex président ex-Allemand, M. Honecker, un mois avant la chute du mur, ou comme un vieux sportif qui veut rester dans la course et est incapable de décrocher à temps. Il faut créer quelque chose de neuf. L'équipe Gendebien a conduit le RWF à l'échec et celui-ci ne s'en remettra pas. C'est trop tard pour le rénover et le redresser. Il aurait fallu des hommes comme Monsieur Gheude, mais il ne voulait pas se lancer en politique. C'est dommage! Tournons la page et allons de l'avant ! Faisons autre chose.